La musique techno en France a toujours été victime d'une hostilité affichée, parfois hystériquement par les autorités et ce dès 1995. Depuis 2002, la situation a empirée, et avec les lois liberticides de la LSQ, les free parties ont subies toutes les violences.
Des charges de CRS aux actions en justice, de coups de matraques en amendes record, tout a été bon pour dissuader la jeunesse d'écouter cette musique et de vivre cette culture dans des conditions correctes.
La répression c'est aussi abattue sur toutes les formes de soirées techno, payantes ou gratuites, et à en voi