winter walks a vintage pale,
leading Calvary to the Golgotha’s
golden high beam seized in
a heavy veil of aromas numberless
upon the sunrise, the luxurious
whisper of life, whose yellow air
blinds the snow eternally, to
walk as winter as one is to die
for the disorder of poetry, ah!–
“Do not fear!” its winds once told me
when it rippled in and out my window,
as is to whistle through a cigarette’s rim;
allowing paranoia to lift up the wall and
fold itself around the mind, like
ash trays for the soul, or hearts
eroded by the wind:
exhaling empires out of emptiness —
is that not a mind at work?
Comment t'expliquer
Ma volonté de construire
Cette envie de nous conduire
A tout feu sans fumée
La motivation qui me prend
Sans arrière pensées
Mon but est clair
La fin justifiant les moyens
Mon dessein hors concours
J'ai la cote j'ai gagné d'être différent
J'ai essuyé des coups virtuels
Par des tentatives bien réelles
Tout cela pour être avec toi
On t'a tendu une baguette
Tu as joué avec
J'ai jeté une bouteille à la mer
Tu sais je l'avais emplie d'un jus amer
Pour qu'on ne la boive point
Finalement nous sommes là l'un pour l'autre
C'est encore ce qui différencie le
Céleste étoile d'espoir
Pourrais-je rêver de te voir
Dans un autre monde
Ou dans celui-ci
Aurons-nous la chance
De surmonter le désespoir
D'accéder à la voie lactée
De pouvoir éviter de penser
De nous voir, de nous toucher
D'être l'un à l'autre sans attache
D'être à l'autre sans lien lâche
Te suis et te veux à la fois
Sans pouvoir décider quoi
La loi du désir s'empare de moi
De ne savoir que faire de ça
Une envie folle un bateau ivre
Une magnifique envie de vivre
Toi, de mes rêves emprunte de givre
Qu'est-ce qui m'arrive
Tu me délivres?
❤
Que faire
D'un flot
Un peu hideux
Que l'on se doit
D'embellir
Quelle est la force
De pouvoir se marquer
D'autant de mots
Et de phrases alléchés
Cuisant sous le toit
D'une mansarde éclairée
Bruissant et croissant
De lune bien lunée
Pouvoir et savoirs
Réincarnés
Fous à lier
Car si j'y étais
Les recevrais-tu
Les lirais-tu
Mes co-religionnaires
Les accepteraient-ils
Seraient-ils secrets
C'est cela vois-tu
La magie
Des questions
Non posées
Et la nature
De la libre pensée
Voyez vous
Ma muse
Est un être aimé
Comment pourrais-je m'excuser
De faillir à le mentionner
Alors que c'est à elle
Que toute ma production est dédiée
Que chaque jour qui passe
Font que de nouveaux vers m'enlacent
Comment cela peut-il me laisser de glace
Pourtant je suis cet être imparfait
Qui a laissé la porte ouverte
A cette grande injustice
Qu'elle soit donc verte, certes
Mais que je ne m'en prenne plus à la source de ma création
Pourvu qu'il n'y ait plus de place à la destruction
Quelque chose s'est cassé
Dans la tête de l'évier
Rien ne va plus
Dans la fraise au glandu
Les missives ont filé
Un parfait attirail
A la belle amochée
En bleu de travail
Elle y était arrivée
Maintenant elle est repartie
Qui sait ce qu'il adviendra
De ce don
Pour qui le retrouvera
Mais c'est où qu'il était
Par dessus le marché
On l'y avait laissé
Mais personne ne l'avait
Réellement autorisé
Toujours dans ton giron
Se trouve une question
Qui vient sur mes talons
Qu'as-tu à dire petit chicon
Alors c'est tout voici mon renom
Tu sais pourtant qui je suis
Clames-tu
Voici mon nom
Pourcelle d'Amour je te dit non
Il n'y a point de raison
De t'assombrir le trognon
Qui sans ça est bien mignon
Qui de quinte elle
Qui de canton
Quoi de ris belle
Quand de canon
❤️
Qu'en ton absence le temps me paraît long
Les instants interminables et les rêves abscons
Déjà deux jours ont passé dans ma tête
Alors que nous ne sommes séparés que depuis midi
C'est donc quatre fois l'après-midi que cela dure
Que ta disparition est ce que j'endure
Avec si peu tu me donnes tant de plaisir
Comment savoir si toi, tu regretteras ce désir
Mais au fond peu m'importe exprimes-toi
Et sommes tes désirs!
❤️
Ma belle de jour
Chaque instant mon cœur bat pour toi
Je n'ai de répit, quelle magie
Opère en nous pour nous rendre si fébriles
Inadmissible pour beaucoup extravagant pour nous
Chaque habitude est un nouveau
Pour l'éternité on nous a mis dans le même bateau
Arrière, badauds les coulisses sont fermées
Nous voguons à toute voile vers une nouvelle vie
Les enfants, moussaillons barrent avec nous
Voguant vers de nouveau horizons
Nous sommes comme un homme entiers l'un pour l'autre
Amourachée du fond d'un ravin de chiffres
L'andalouse survit dans la chanson douce qu'elle vit
Témoignant des douces vertus qu'elle accumule
Elle lit dans la main des passants, même les hurluberlus
Délivrant vérité sur vérité comme on laisse s'envoler des colombes d'une cage
Persécutée pour sa chair pâle et tendre
Elle compose un billet d'amour a ce gendre
Combien de saisons me faudra-il pour m'enfuir
Où ces horizons auront-ils ma peau et quand deviendrais-je enfin un oiseau
Laissez-moi donc le temps frivole pour que du toit un jour je m'envole
D'une telle douceur imbriquée un
Comme dans un rêve inanimé
Comme dans un songe à recommencer
Il n'est d'espoir que de construire
Après des vagues de saleté
Après des larmes trop salées
Il n'est de chance que de poursuivre
La cause s'est servie d'elle-même
Sans réduire d'emblème
Sans résoudre de problème
Et sans chasser ton air blême
Tout est à recommencer
Belle de nuit
Je rêve de la passer à tes côtés
Moi part de la génération désenchantée
Aux lendemains meilleurs
Préférons les maintenant excellents
Au bouillon qui suit l'averse
De ne pas tomber en territoire adverse
Qu'advienne que pourra
Il est vrai que d'Amour plus grand il n'est
Et que de rencontre autre ne vaille qu'ivraie
Et pourtant séparés nous dormons
Rêvant d'une proposition
Qui fait baston
Pourvu
Amour
Pourvu...
❤️
Toujours à savoir jamais
Où que tu te trouves
Je me demande ce que tu penses
Tu prétends à l'enfance
Je prétends à la puissance
Nous croyons à la chance
Peut-être un petit peu trop
Alors qu'il peut juste bien
Pourvoir à ses fins
Pour jouer à la faim
De découvrir de nouveaux mondes
En bande au micro et en trombe
Tout puissant par les règles qu'il incombe
Au secours des âmes pour des plombes
Pour couvrir connaissance et catacombes
Comme signe tendre
D'une nouvelle méandre
De qui doit-on s'occuper
Pour générer une fleur fanée
De rester dans ses torts
Sans mettre le nez dehors
En oubliant aussi
Le combat du jour sur la nuit
Ce qui brule est ce qui vit
Ce qui est de toi
Fait que je n'oublie
Jamais en tel temps
N'ai-je avancé autant
L'outrageuse concomitante oraison
Des éléments d'hier
Nous invitant alors que
Non libres
Nous ne pouvions répondre
La garnison du seuil des visages pâles
Désirant nous accueillir
Sans frémir, sans faiblir
Chuchotent un amalgame
De pots pourris en aspartame
Font que nous sommes à raison
Pris de court par nos émotions
Pour railler d'envie
Nos plus purs souvenirs
A l'aube des grandes portes
Des choix que nous offrent la vie
Quel pari
Quelle ortie
A tout prendre
Quel sera ton parti
❤️
Le moelleux de tes yeux
Réverbère le fond de mon âme
A pléthore je suis tienne
Quoi qu'il advienne
Les messes-basses outrancières
Révélatrices de misère
N'ont d'égal à elles-mêmes
Que l'étal du tout à chacun
Que nous sélectionnons
Pour un oui
Pour un non
❤️
Tant qu'il était
De tance
Qu'il voulait
Mener la danse
Sans savoir
Ce qu'il était devenu
Pour elle
Un être désiré
En porte-à-faux
Un peu oublié
De ses défauts
Et pourtant elle veillait
Sur la bonne carte
Chère tendre aimée
Ton verbe et tes mots me manquent
Je suis terre sèche de ton eau
Qu'elles étaient belles tes dernières paroles
Couchées sur papier électronique
A présent c'est ton silence qui me prend:
Car par la gorge je suis pris comme si moi aussi
Je ne pouvais plus parler
Ta douce bienveillance et ton doux parfum
Sont autant d'artéfacts manquant à la liste de mon indispensable
Je crierai et j'écris à la lune des sonnets d'Ethiopiens
Pour que tu me redeviennes précieuse comme l'eau de la vie
Comme celle que l'on boit pour survivre
Je m'entends et me rends compte que mon
Proximité ou scène et phagocytée
Elle me met en bien peu d'anxiété
Pour ne pas dire comme je suis excité
De la voir, ambre sur ses points
De rousseur, esseulée
A la barre d'un navire affrété
Dont la proue lorgne un succès effréné
Cela coule de source
Nos amis invités
Se pâment de nous revoir
En-tête de ligne subjugués
Et c'est ainsi qu'endort
La maille des cons énervés
Trouvés dans la fiente
Des mormons éreintés
Il n'est de vol si ce n'est hier
A la marche folle
Des rigolos du vestiaire
Ils n'en prennent garde
Pour se rebiffer en secret
Pour de lame brisée
N'enfanter en secret
Que d'âme lésée
Rebiffée et grondée
Ne laissera
Qu'ombres et palabres
Dans les combles levés
A leur armes hébétées
Amour de ma vie
Beauté obscure
Plénitude assouvie
Au creux de ton nid
Tu me touches les cheveux
Doucement
Tu épelles ces mots
Qui me plaisent
Ce doux moment
Que nous partageons
Encore de cette douceur
Collés par l'envie
Décollés par moiteur
Combien de positions
Nous reste-il à explorer
Pour encore un tel moment
Partager?
❤️
Comme une mélodie écoutée sur une table au coin d'un bois
Tu te rappelles la song je l'écoutais pour toi
Tu m'as dit qu'elle te plaisait, et qui c'était qui la chantait
Tant de souvenirs qu'on s'apprête à laisser sur le bas-côté
Tout ça parce qu'on a parfois du mal à communiquer
Je voudrais te conter l'histoire d'une jeune princesse car jeune c'est d'esprit pas la fermeté des fesses
Que puis-je te dire
Son prince en est fou
Un jour il voudrait la voir porter
Ses espoirs de descendance gagnés
Parce qu'il voit qu'elle en est capable
Et qu'elle a ce qu'il faut pour vraiment y cro